Sweet Brown Sugar

Certains d’entre vous connaissent déjà l’auteure de ma dernière lecture et peut-être que, comme moi, vous en êtes fan! Elle est devenue coach stratégiste suite à une mauvaise expérience professionnelle, un licenciement suivi d'un burn-out entre autres luttes contre certaines discriminations (notamment grossophobie, racisme et misogynie).  Marie DaSylva est surtout connue sur la Twittosphère pour ses séances hebdomadaires où elle offrait déjà tous les jeudis des conseils et stratégies de défense aux personnes minorisées face aux difficultésrencontrées dans la sphère professionnelle. Depuis, elle a fondé son agence Nkaliworks où elle accompagne ses clients qu’elle nomme pépites (principalement des femmes non blanches mais aussi des hommes plus récemment) à déterminer ce qui ne va pas et à agir en conséquence. Parfois, on a tellement l’habitude de prendre sur soi, gagné par la peur de perdre son emploi et sans s’offrir la perspective d’une autre issue possible, qu

Je reviens avec un sujet qui nous concerne tous : nos finances. Sujet de haute actualité surtout en cette période de retour de vacances où les dépenses vont être nombreuses, d'autant plus si, comme moi, vous êtes parent d'enfant scolarisé. Voilà un moment que je voulais vous partager mon retour sur ce bouquin. Pendant le confinement, j'ai eu l'occasion de lire ce bouquin au titre raccoleur mais qui s'est avéré très intéressant et impactant. J'ai donc voulu vous en faire un retour et vous livrer les points importants d'une bonne santé financière. Oseille, cash, fric, pognon, thune, moula, quelque soit son nom, il est à la fois source de problème et de plaisir, il est celui après lequel beaucoup courent mais aussi celui dont on ne nous parle pas assez en grandissant : l’argent.  Rares sont les notions financières enseignées aux plus jeunes. On sait juste ce qui coûte cher, ce qui vaut moins cher. Mais qui nous parle d'épargne, d'investiss

Pendant longtemps, on m’a qualifiée de timide, de réservée car on ne comprenait pas que je puisse apprécier ma propre compagnie et me sentir mal à l'aise avec beaucoup de monde.  Mon adolescence s'est résumée à naviguer entre savoir ce qui était bon pour moi et m'essayer à me conformer à la masse. Je suis passée à côté de quelques opportunités et de belles relations à cause de ce côté réservé, de cette peur de sortir de ma zone de confort et d'être jugée pour ça. J'ai longtemps eu ce sentiment de ne pas, malgré ma volonté, entrer dans le moule de cette société qui veut que la norme soit à l’extraversion. L'impression de ne pas être normale car n'ayant pas les mêmes aspirations que les autres. Un sentiment partagé par bien d'autres adolescents et peut-être même de jeunes adultes. J'ai mis plusieurs décennies à le comprendre, à l'accepter et ce n'est que  récemment que j’ai mis un mot sur ce qui reflète parfaitement ma façon d’être 

Nous traversons une période difficile et personne ne peut dire quand nous retrouverons enfin une vie similaire à celle d' "avant". On a dû faire une croix sur une vie sociale riche mais s'il y a bien un jour qui doit malgré tout être célébré, c'est celui de son anniversaire! En temps normal, on peut distinguer celles qui veulent marquer le coup avec un grosse fête ou un bon restau entouré de la famille et/ou des amis, et celles qui, passé un certain âge, ne le célèbrent pas forcément, par habitude ou par déceptions passées. Je suis de la seconde catégorie : j'ai parfois été déçue de soirées organisées car mes attentes n'étaient pas toujours à la hauteur de la réalité. Et puis, l'introvertie que je suis n'apprécie pas forcément être le centre de l'attention et préfère optimiser cette journée à recharger les batteries pour une année supplémentaire sur cette terre! L'an dernier, beaucoup comme moi ont eu un "anniversaire confiné", fo

Avec tout ce que j'avais mis en attente depuis plusieurs mois , je suis ravie d'avoir enfin terminé ce livre et de le partager avec vous. Je me l'étais procuré lors de l'édition 2019 de la NHA et nous avions d'ailleurs eu l'honneur, grande louloutte et moi, de rencontrer son auteur, Rokhaya Diallo.

Non, il n'est jamais trop tard pour vous souhaiter mes meilleurs vœux en cette nouvelle année et vous présenter mes excuses.

Me revoilà avec une nouvelle recommandation. Depuis l’an dernier, je me suis prise d’intérêt pour le yoga. Cette discipline a longtemps souffert d’une image négative, il serait peu accessible, réservé à de jeunes femmes minces d’une certaine catégorie sociale et possédant une prédisposition à réaliser ces postures dingues parfois dignes d’acrobates ! Heureusement, il n’en est rien. Le yoga est bien plus complexe et accessible qu’il n’y parait et pour assouvir ma soif d’informations sur le sujet, je me suis penchée sur cet ouvrage qui explique ce qu’est vraiment le yoga, ses bienfaits, sa nécessité et comment le pratiquer.

C'est au détour d'un tweet, à la fin de l'été dernier, que je suis devenue adepte aux podcasts. Je ne savais pas exactement ce que c'était, je pensais naivement qu'ils n'étaient que de pseudos émissions qui ne me concernaient pas. Je me trompais royalement : il existe de nombreux podcasts sur pratiquement tous les sujets possibles et créés par tout autant de profils. Elle est là, cette diversité absente de tous les médias généralistes et ils gagnent à être davantage exposés selon moi.

Il s’agit d’un roman de Raphaëlle Giordano qui a remporté un franc succès dès sa sortie il y a près de trois ans aux éditions Eyrolles.

L’auteur, Don Miguel Riuz, est considéré comme étant un chamane des temps modernes. Mexicain, il a grandit au sein d’une famille de guérisseurs et a lui-même été chirurgien. C’est après un événement grave qu’il va se tourner vers les traditions toltèques et partager ses connaissances en espérant un effet domino pour toucher le maximum de personnes.

A l’heure où on assiste à un retour aux fondamentaux dans divers domaines, on oublie parfois que notre santé est un bien précieux à entretenir.

Quand trois amis de profils différents se réunissent et décident de partager le fruit de leurs échanges à travers un livre ça donne le formidable Trois amis en quête de sagesse , publié en février 2016.

Transports, boulot, courses, RDV divers, on n'arrête pas de courir au quotidien et davantage lorsqu'on est maman! Il arrive que ce rythme effréné devienne une norme car, selon nous, on n'a pas le choix, c'est comme ça, il faut bien travailler et jongler avec nos autres activités. Une journée semble bien courte par rapport aux milliers de choses à faire. 

Lorsque la blogosphère s'est emballée sur le casque vapeur, HairSteamer, il y a déjà quelques années, je regardais de loin cet engouement car ma technique maison pour mon soin après-shampoing sous cellophane représentait une bonne alternative peu couteuse. Bon c'était pas très glam' de se trimbaler avec du plastique sur la tête mais au moins c'était pas cher et efficace! Depuis notre visite il y a déjà quelques années au Spa Capillaire de Les Secrets de Loly pour MiniMoiN1 (à lire ICI ), j'ai changé d'avis! 

Si vous me suivez depuis mes débuts, vous connaissez mon histoire capillaire , mes déboires de l'époque et mes récents questionnements vis à vis du défrisage auquel j'ai définitivement dit bye-bye récemment. J'en profite ici pour donner des nouvelles de mon état capillaire et peut être inspirer d'autres personnes hésitantes comme je l'étais autrefois en exposant les changements liés à cette décision.

30 ans, cet âge si lointain et virtuel lorsqu'on est ado, insouciant et choyé par ses parents. 

Porter ses cheveux naturels, tels qu'ils étaient lorsque nous sommes venus au monde, semble tout à fait logique mais ce n'est pas le cas de la majorité des femmes d'origine afro-caribéenne, malgré l'engouement insufflé par le mouvement Nappy il y a quelques années. Encore faut-il avoir grandi avec ou les avoir suffisamment appréhendés afin de leur apporter tous les soins qu'ils méritent.