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Il était une fois Beyoncé

 

Cape et body : Valentino - Chapeau : Stetson - Bijoux : Tiffany & co. - Gants : Wing & Weft

Qu’on l’apprécie ou pas, on la connaît tous et si tu me suis sur les réseaux sociaux, tu sais que j’en suis fan depuis ses débuts au sein des Destiny’s Child (peut-être comme toi aussi).

Artiste confirmée et expérimentée, mondialement reconnue, femme d’affaire multi-facette, Beyoncé, qui sera une heureuse quarantenaire début septembre, vient d’accorder un rare entretien au magazine Harper’s Bazaar à paraître fin août 2021. Elle revient sur sa carrière, ses choix de vie, son évolution, ses projets futurs ainsi que sa nouvelle collection IvyPark x Adidas. Comme je le suggérais lors d'un précédent post, un anniversaire est l'occasion parfaite de faire une jolie mise à jour où le passé aide à regarder l'avenir.

Comme le rappelle la journaliste Kaitlyn Greenidge, Beyoncé Knowles-Carter, comme tous les natifs des années 80, vient d’une époque où les camescopes, enregistreurs vocaux, ordinateurs et autres appareils photos entraient dans les foyers. Nous faisons (oui je suis vieille moi aussi !) parti de cette dernière génération à avoir vécu dans un monde analogique mais nous sommes aussi la première génération à avoir vu naître ce monde numérique. Les femmes qui la précédaient n’avaient pour seules représentations leur miroir et des dessins approximatifs à travers les magazines alors que l’ère numérique a offert un reflet quasi quotidien d’une précision inédite. Issue de cette révolution digitale, savoir naviguer entre ces deux types de représentations est à la base de son art.

Retour sur sa vie à travers ces quatre décennies qu’on pourrait renommer « Il était une fois Beyoncé ».

 

Première décennie – enfance heureuse et timide

Les premières années de sa vie étaient dédiées à la rêverie. « Parce que j’étais introvertie, enfant je ne parlais pas beaucoup. J’ai passé beaucoup de temps à construire tout un imaginaire dans ma tête. Je suis aujourd’hui très reconnaissante de ces années de silence et de timidité. La timidité m’a appris l’empathie et cette capacité à me mettre à la place des autres. Je ne suis désormais plus timide mais je ne suis pas sûre que j’aurai pu rêver aussi fort aujourd’hui si je n’avais pas eu ces années un peu étranges dans ma tête ».

Pour celle qui se mesure aux autres en chant et en danse depuis l’âge de 7 ans, la scène a toujours été un endroit sécurisant mais pas si facile pour autant. « J’ai toujours été la seule petite fille noire alors je me suis vite rendu compte qu’il me faudrait danser et chanter deux fois plus. J’ai commencé à prendre des cours de chant avec une chanteuse d’opéra à 9 ans. A 10 ans, j’avais déjà enregistré au moins 50 ou 60 chansons en studio, c'était l’époque des cassettes bien avant les logiciels comme Pro Tools ».

A 13 ans, elle fut mise sous silence par ses médecins après une blessure vocale. Elle avait chanté plusieurs heures d’affilée en studio, juste après avoir obtenu son premier contrat avec son groupe. Elle avait eu peur d’avoir définitivement endommagé sa voix et mis fin à sa carrière. Plusieurs semaines de repos vocal lui ont finalement été bénéfiques.

Son adolescence a ensuite été placée sous le signe de l’affûtage de ses compétences. Guidée par une écriture sainte « La foi sans travail est morte », elle explique qu’avoir une vision et la seule volonté n’étaient pas suffisants. « Je me suis vouée à toujours être une élève et à toujours vouloir grandir et apprendre. Personne à l’école ne savait que je savais chanter parce que je parlais à peine. Mon énergie était concentrée sur les Destiny’s Child et ce rêve de nous voir obtenir un contrat d’enregistrement et devenir artistes ». Elle n’avait pas de temps à perdre avec ce qui ne l’aiderait pas à atteindre son but. Pas le temps de trainer, elle a sacrifié beaucoup de choses et s’est tenue loin des distractions. « En tant que jeune femme noire, j’avais l’impression de ne pas avoir droit à l’échec et je ressentais cette pression extérieure qui voulais que j’échoue. Je ne pouvais pas laisser tomber ma famille qui avait tant sacrifié pour les filles et moi. Ce qui signifiait que j’étais l’adolescente la plus professionnelle possible et j’ai dû grandir vite ». Déjà elle voulait briser les stéréotypes de la superstar noire, souvent victime de drogue ou de l’alcool ou celui de la femme noire toujours en colère. « J’étais consciente de cette opportunité et j’avais l’impression de n’avoir qu’un seul et unique essai. Il m’était impossible de foirer mais j’ai dû donner beaucoup ».

 

Manteau : Bottega Veneta 

La vingtaine – Construire une carrière solide, laisser un héritage

Les bases de la carrière qu’on lui connaît ont été fondées à cette époque. Les yeux rivés sur le succès commercial, les numéros 1 et le fait d’« être visionnaire peu importe les barrières qu’il faudrait briser ». Poussée par ses propres limites, elle a aussi appris le pouvoir de dire non.

C’est à 27 ans qu’elle devient professionnellement indépendante et décide de fonder Parkwood Entertainment. « A l’époque, il n’existait pas d’entreprise qui fonctionnait comme je le souhaitais ou qui proposait ce que je voulais, alors je l’ai créée ». Parkwood Entertainment est effectivement une sorte de superstructure polyvalente de divertissement basée à New-York rassemblant plusieurs entreprises telles qu’une agence de production ou encore un label d’enregistrement, entre autres, lui permettant de travailler sur les projets qui lui importent le plus, mettant l’art et la créativité au premier plan.

Elle a rassemblé des créatifs et visionnaires indépendants afin de collaborer ensemble. « J’ai voulu des femmes fortes à des postes clefs de l’entreprise étant donné que l’industrie est encore dominée par la gente masculine. Il me fallait des collaborateurs pas encore dégoûtés du monde classique de l’entreprise et capable de travailler avec moi et mes idées peu conventionnelles. Il me fallait une équipe qui puisse me défier mais qui ne serait pas conditionnée à me dire que je ne suis pas censée faire ci ou ça ».

Ainsi elle se remémore une réunion où on lui présentait des chiffres et des sondages montrant que ses fans n’aimaient pas les photos en noir et blanc. « Ils disaient que ça ne se vendrait pas si ce n’était pas en couleur. C’était complètement stupide et ça m’a énervée qu’une agence puisse dire ce que mes fans voulaient à partir d’un sondage. A qui ont-ils demandé ? Comment peut-on généraliser à ce point ? Ces sondages sont-ils précis et justes ? A-t-on inclus les personnes que j’essaie de mettre en valeur ? Clairement, non ». Tellement révoltée par ces formules d’entreprise, elle a réalisé son projet en noir et blanc, incluant les clips de Single Ladies et If I Were a Boy ainsi que toute la photographie signée Peter Lindbergh pour l’album I am…Sasha Fierce. « Au final, ce fut mon plus grand succès commercial jusqu’à ce jour. J’ai essayé de garder l’émotion, l’esprit humain et les sentiments dans ma prise de décision ».

T-Shirt : Ivy Park x Adidas - Pantalon : Alberta Ferretti - Chapeau : Stetson -
Bijoux : Schiaparelli Haute Couture - Chaussures : Anthony Vaccarello pour Saint Laurent

C'est aussi à cette période qu'elle s'intéresse également à la réalisation et se forme sur le logiciel Final Pro Cut. Une nouvelle passion dont on a pu voir les premiers pas sur le film de la tournée I am…World Tour puis sur son album visuel Beyoncé, ensuite sont venus Lemonade, Homecoming et Black is King.


« J’ai travaillé à guérir de traumatismes générationnels et j’ai transformé une peine de cœur en art qui pourrait aider à faire avancer la culture et, avec chance, qui vivra bien au-delà de moi. »

Trentenaire épanouie – En dehors de la scène

A partir de 30 ans, Beyoncé a voulu bâtir une famille, évoluer en dehors de sa carrière et aller encore plus loin.

En 2013, l’organisation BeyGOOD voit le jour. « Il s’agissait de transmettre cette idée que nous devrions tous agir afin d’aider les autres, comme mes parents me l’ont toujours dit depuis l’enfance . On veut inspirer à être bon et charitable ». BeyGOOD agit à travers plusieurs disciplines au niveau mondial : le droit des femmes, le soutien aux petites entreprises des minorités, assister les familles dans le besoin face aux problèmes d’eau, de logement et de soins pédiatriques, un partenariat en Afrique du Sud, soulager les victimes d’ouragans, du Covid ou encore l’éducation avec le programme de stages en Afrique du Sud et les bourses scolaires aux Etats-Unis. « Il a toujours été important pour moi d’aider les autres et d’avoir un impact positif sur le monde ».

« J’ai passé tellement d’années à m’améliorer et à perfectionner tout ce que je faisais, qu’aujourd’hui je n’ai plus besoin de rivaliser avec moi-même. Je n’ai aucun intérêt à regarder en arrière. Le passé est le passé. Je sens que cette version jeune et moins évoluée de moi-même n’arriverait même pas à la cheville de la femme que je suis aujourd’hui, lol ».

Haut : Balmain - Combinaison : Ivy Park x Adidas - Bijoux : tiffany & co.

« Notre réalité est faussée, façonnée à base d’algorithmes personnalisés qui nous montre les réalités que nous recherchons et c’est dangereux »

Vie d’artiste - limites, vie privée et santé

« Nous pouvons créer notre propre fausse réalité lorsque nous perdons l’équilibre avec ce qui se passe réellement dans le monde. Il est si facile d’oublier qu’il existe tout un monde à découvrir en dehors de nos téléphones. Je suis si reconnaissante de pouvoir choisir ce que je veux. Un jour j’ai décidé que je serais comme Sade et Prince, c'est-à-dire mettre l’accent sur ma musique parce que si mon art n’est pas assez fort ou significatif pour garder les gens intéressés et inspirés, alors je suis ne suis pas à ma place. Ma musique, mes films, mon art, mon message : tout ça devrait être suffisant ». Effectivement, tout au long de sa carrière, s’est attelé à fixer des limites entre la Beyoncé sur scène et la Beyoncé dans la vie privée. Si bien que certains de ses proches oublient même son statut de superstar jusqu’au moment où ils la voient sur scène ! Elle rappelle qu’il peut être facile de se perdre dans cette industrie et elle en a été témoin, non seulement avec des célébrités mais aussi des producteurs ou autres réalisateurs. « Ce n’est pas pour tout le monde. Avant que je démarre, j’avais décidé de ne poursuivre une carrière que si celle-ci valait le coup au-delà de la célébrité et du succès. Je me suis entourée de personnes honnêtes, que j’admire et qui ont leur propre vie et aspirations, qui ne dépendent pas de moi. Des personnes de qui je peux apprendre et vice versa. Dans ce monde, beaucoup de votre vie ne vous appartient que lorsque vous vous battez pour. 

Je me suis battu pour protéger ma sérénité et ma vie privée parce que la qualité de ma vie en dépendait ».

Comme une réponse à ses détracteurs qui la trouvent froide et distante elle poursuit : « Beaucoup de qui je suis est réservé aux personnes que j’aime et en qui j’ai confiance. Ceux qui ne me connaissent pas ou ne m’ont jamais rencontré pourraient me voir comme quelqu’un de fermée. La confiance est la raison pour laquelle ces gens ne voient pas certains aspects de moi, parce qu’étant du signe astrologique de la Vierge je ne veux tout simplement pas qu’ils les voient ! Pour autant cela ne signifie pas que ces aspects n’existent pas ! »

Bijoux : Tiffany & co.

Retirez-lui son statut de superstar, Beyoncé est bien comme toutes les femmes souhaitant mener vie professionnelle et familiale. On se sent la nécessité de porter cette charge d’être le pilier de la famille, assurant à la maison et au travail. « Je ne m’étais pas rendu compte à quel point ça agissait sur mon bien-être moral et physique. Je n’ai pas toujours fait en sorte d’être une priorité. J’ai rencontré des problèmes d’insomnie surtout en ayant fait une tournée pendant plus d’un an et demi. Des années à forcer sur mon corps, à danser en talons. Le stress sur mes cheveux, ma peau ; la chaleur et les teintures sur les cheveux, le maquillage assez lourd sur une peau transpirante sur scène. J’ai piqué des astuces ici et là au fil des années pour paraître au mieux mais je sais que pour donner le meilleur de moi-même, je dois prendre soin de moi et écouter mon corps. 

Je pensais avant que la santé passait forcément par le sport, les régimes, la manière dont je me réveillais, mon état d’esprit et ce dont je nourrissais mon corps et mon esprit. Mais prendre soin de soi passe aussi par la santé mentale. Je concentre désormais mon énergie sur mon corps et à prendre en compte les signes qu’il m’envoi. Votre corps vous dit tout ce dont vous avez besoin de savoir, j’ai appris à écouter. Il faut du temps pour changer ses habitudes ». Ainsi, pendant le confinement, elle a pu instaurer de nouveaux rituels, avec notamment la découverte récente du CBD qui agit sur ses problèmes de sommeil ou le miel (qu’elle produit chez elle grâce à ses ruches) qui contribue au bien-être de toute la famille.

 

Modèles et transmission

Les valeurs que ses parents lui ont inculqué enfant sont les bases de son éthique professionnelle. Grandir avec une maman propriétaire de son propre salon de coiffure, travaillant plus de 15 heures par jours, a forgé son goût de l’effort et son sens de l’implication. « Peu importe la fatigue qui l’envahissait, elle était toujours professionnelle et aimante. J’essai de gérer mon travail et mon entreprise de cette façon.

Chemise, short et ceinture : Ivy Park x Adidas - Bijoux : Tiffany & co.
J’ai aussi vu ma mère prendre soin de ces femmes dans son salon, non seulement en les rendant belles mais en leur parlant et en les écoutant. J’ai pu découvrir à quel point les émotions des femmes noires étaient liées à notre coiffure ou notre beauté. L’industrie de la beauté ne le comprend pas toujours. Je veux donner aux femmes cet espace où elles sentent leur propre force et où elles puissent raconter leurs histoires ».

De même son père l’a toujours encouragé à écrire ses propres chansons et à créer sa propre vision, raison pour laquelle elle a écrit et produit si jeune. Elle se rappelle qu’«à 19 ans, les gens ont commencé à critiquer sa prise de poids. Je me sentais mal à l’aise d’entendre ce genre de commentaire mais un jour j’ai refusé de m’apitoyer sur mon sort et j’ai écrit Bootylicious. A partir de là, j’ai commencé à me servir de tout ce que la vie mettrait sur mon chemin et de m’en servir en quelque chose de positif pour aider celles et ceux qui luttaient contre la même chose ».

 

Nouvelle collection Ivy Park

Baptisée Rodeo, cette nouvelle collaboration avec Adidas prochainement disponible a pris son inspiration dans sa ville natale qu’est Houston au Texas où elle avait l’habitude d’aller voir des rodéos. Un rendez-vous annuel multiculturel où chaque membre de la famille trouvait son compte.

Cette collection est un mélange de son enfance et de l’histoire américaine, plus précisément des cowboys noirs oubliés de l’histoire des Etats-Unis. "Lorsque j'ai appris d'où venait le mot CowBoy, je me suis rendu compte à quel point les histoires des cowboys noirs et indiens manquaient à l'histoire américaine. Je suis fière de représenter la culture de Houston et mes racines" On apprend aussi la création du Soul Circuit, fondé à l'époque par les cowboys noirs discriminés. Leurs compétences prouveront par la suite leur place dans l’histoire et la culture du western. On retrouve ainsi sur cette collection toute cette inspiration typique avec le denim ou la peau de vache, combinés à des pièces plus classiques pour pratiquer son sport. Et chose inédite, des tailles enfants seront disponibles !


Future Beyoncé

Le 4 septembre prochain marquera sa quarantième année. Elle souhaite cette nouvelle décennie drôle et pleine de liberté ! « J’ai tellement fait en 40 ans que je veux juste profiter de ma vie. Je veux ressentir cette liberté que j’ai sur scène tous les jours de ma vie. Je veux explorer ces facettes de ma personne que je n’ai pas eu le temps de découvrir et profiter de mes enfants et de mon mari. Je veux voyager hors cadre professionnel. Je veux que cette décennie soit sous le signe de la joie, du don et de la réception d’amour. Je veux donner tout l’amour que j’ai à ceux qui m’aiment en retour.

Je veux continuer à œuvrer au démantèlement des inégalités systémiques et à retourner cette industrie. J’envisage aussi de créer en dehors de la musique. J’ai appris que je devais continuer à rêver.

Une de mes citations préférées vient de l’inventeur Charles Kettering : « Notre imagination est la seule limite à ce que l’on peut espérer avoir dans le futur »

Je veux montrer qu’il est possible de s’amuser, d’avoir un objectif et d’être respectueux tout en restant fidèle à ses principes. On peut être à la fois élégant et provocant. On peut avoir des formes tout en étant une icône de la mode. Je souhaite que tout le monde ait cette liberté. J’ai suivi toutes les règles à suivre pendant des décennies alors maintenant je peux briser celles qui ont besoin de l’être. Mon souhait pour l’avenir est de continuer à faire tout ce que tout le monde pense que je ne peux pas faire. »

 

Robe : Dior - Corset : Ivy Park x Adidas - Chaussures : Jimmy Choo - Bijoux : Tiffany & co.

Bien que Black Is King soit toujours disponible, la question que tout le monde se pose évidemment est de savoir si du nouveau arrive niveau musical. Bonne nouvelle : on devrait avoir du nouveau très prochainement car voilà un an et demi qu’elle est en studio à peaufiner son projet. « Après l’isolement et les injustices sociales de l’année passée, je pense qu’on est tous prêts à s’évader, voyager, aimer et rire à nouveau. Je sens comme un vent de renouveau et je veux y prendre part de quelque manière que ce soit. Après 31 ans, c’est tout aussi excitant que lorsque j’avais 9 ans. Oui, la musique arrive ! »

 En voilà de bonnes nouvelles! Qu'en penses-tu? N'hésite pas à partager!

 

L’interview est à lire en intégralité ICI.

Photographe : Campbell Addy

Coiffure : Jawara – Nakia Rachon – Rachel Bodt

Maquillage : Francesca Tolot

Manucure : Miho Okawara

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